Qu’elle porte le numéro IV ou qu’elle autorise des espions « to kill », une licence c’est un droit de faire.
Pourquoi un établissement de recherche parle-t-il donc de licence avec le monde industriel ?
Ou plutôt, pourquoi une entreprise devrait-elle acquérir une licence auprès d’un laboratoire de recherche public (en fait auprès de ses tutelles, université ou organisme, qui ont seules le pouvoir d’agir juridiquement).